Plus isolé que ses comparses griots guinéens burkinabés maliens ou sénégalais, puisque sa diaspora, anglophone, a peu émigré en France, Yakhouba ne connaît pas de frontières musicales. Auprès de Jean Jacques Avenell, Dee Dee Bridgewater, Jean Philippe Rykiel, Lansiné Kouyaté, David Neerman et bien d'autres, il a développé un jeu inventif nourri par son inlassable curiosité musicale, son attirance pour le jazz et l'improvisation et une profonde connaissance de la tradition mandingue.