Marcher dans Antananarivo.
Parcourir les rues et ruelles, rechercher les strates d'une histoire qui se cache derrière la foule qui grouille et le silence des quartiers de la Haute Ville.
Et plus proche, sous les yeux, la plaine encaissée et les marais asséchés.
Les noms chantent : le dernier mont, la colline des jeunes gens, la butte qui fut nivelée, la petite forêt, les marais sans canaux...
Que l'on quitte Tana ou qu'on y revienne, de toutes façons, de la route digue, elle vous la jouera lointaine... lointaine et mystérieuse, ville sortant d'un lac, maisons grimpant la colline pour fuir l'étendue d'eau.