Entre le souvenir heureux de l'existence de mon père, et le souvenir douloureux de son décès brutal, le film est à la fois le lieu d'une invocation de sa mémoire, et celui d'une interrogation sur le sens de la vie.
A travers une lettre que le réalisateur lui adresse, il donne aussi sa conception de la mort : les morts ne sont pas morts, ils habitent nos rêves, nos souvenirs, ils sont nos échecs, nos espoirs et nos croyances, nous sommes ce qui reste d'eux sur terre.
de Locy Hermann KWENE (Burkina Faso)
Film d'études à l'ISIS (Ouaga)
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